mercredi 11 septembre 2013

A jolly good weekend

 Avant de commencer, je tiens à préciser que j'ai honteusement piqué la quasi-intégralité des photos illustrant cet article à mes amies Marie, Mila et puis quelques unes à Lunie également.

  J'ai pas mal baroudé ; Asie, Amérique, Europe, j'ai visité pas mal d'endroits, mais je ne m'étais encore jamais rendue à Londres, ville qui m'intéresse pourtant énormément (c'est pas comme si c'était le berceau des mouvements punk et goth, mais un peu quand même). Or, il se trouve que le 31 août avait lieu Frock On, un genre de grand rassemblement de dentelles et de jupons organisé par le Tea Party Club, l'association lolita anglaise. Alors Marie, Mila, Ludo et moi, on a pris nos billets, réservé un train et une chambre en auberge de jeunesse, et hop, on est partis. Le reste la Fabulous Team (le petit et modeste nom de notre bande de copains) composé de Tro-Tro, Tiya et Zoé en a fait de même, partant de leur côté avec La Famille (une autre bande de gens beaux et cools). L'invasion française pouvait alors commencer.
C'était un événement que l'on attendait depuis son annonce car il promettait d'être grandiose, à l'habitude des événements organisés par le Tea Party Club. On l'attendait également avec impatience parce que la Fabulous Team n'avait plus eu l'occasion de se réunir au grand complet depuis un bon bout de temps. A cette occasion, nous avons donc décidé de nous créer chacun un badge nous représentant.

Sauras-tu deviner lequel est le mien ?

 Vendredi 30 au petit matin, on a pris le train direction London-St Pancras. On était méga-frais après avoir party-hardé la veille en l'honneur de l'anniversaire de notre Ludo. Après avoir comaté tout le trajet, nous arrivâmes à destination, des cernes pareilles à des canyons sous les yeux, mais le kokoro empli de joie. A partir de ce moment, je n'ai plus arrêté de dire "lovely" et "what a jolly good day" à tout va avec mon merveilleux accent british, soûlant par-là mes pauvres camarades pour le reste du séjour.

Like a Sir.

 Notre auberge de jeunesse était lovely, agréable, neuve, propre (du moins avant l'arrivée d'un groupe de filles pas très soigneuses...) et facile d'accès via les transports en commun (qui, au passage, coûtent une blinde), alors si tu as toi aussi envie d'aller à Londres, pense aux auberges Safestay, le petit dej y est médiocre, mais au moins y a des Frosties à volonté. Bref. On a joyeusement déposé nos bagages avant de partir en quête de nourriture. Sur le chemin, on a pu admirer l'architecture londonienne qui m'a pas mal transcendée avec ses briques et ses dentelles de pierres, un grand nombre de statues à l'effigie de Jésus ou de sa maman, et puis des rues aux noms sympathiques. On s'est aussi rendus compte que l'Angleterre est un pays dans lequel traverser la route sur des passages piétons est un acte plutôt dépaysant, et que le métro requiert que l'on fasse moins d'un mètre quatre-vingts si l'on veut s'y sentir à l'aise.


 On en a aussi profité pour faire des outfits shots dans une rue au charme typique qui m'a fait pensé à tous ces films comme This is England ou Made in Britain, c'était tout bête mais ça m'a un peu émue. Et puis ce jour-là, je portais pour la première fois ma kutte, une veste simple en jean que j'avais acheté vierge au Hellfest et que j'ai personnalisée. Elle n'est pas encore terminée mais elle raconte déjà un bout de moi-même et j'avais vraiment très envie que ma première sortie avec se fasse à Londres (ouais, j'ai des envies débiles comme ça, des fois). J'ai foutu tout ce que j'aime dessus : un patch Donald qui rassemble à lui tout seul un tas de trucs cools (le combo rouge/bleu/jaune, mon année de naissance et puis Donald évidemment, dont je suis vraiment ultra-fan), un écusson mandalorien comme celui de Boba Fett dans Star Wars (parce que j'ai envie de croire que je suis mandalorienne de cœur) et Anna Varney entre autres choses. Et puis 600 clous que je me suis amusée à enfoncer un par un, aussi. Du coup, je l'aime vachement bien, cette veste. Même que j'ai hâte d'être au Hellfest l'an prochain, je vais rendre tout le monde jaloux (j'ai bon espoir).


Et Ludo notre aryen préféré, toujours wünderschön.

 On a donc voulu aller chercher à manger, mais comme il était 11h, les restaurants n'étaient pas encore ouverts pour la plupart, et notre budget limité d'étudiants pauvres nous a dirigé vers les sandwiches d'une franchise au nom français qui n'étaient franchement pas si pires. Une fois le ventre un peu moins vide, nous nous en fûmes retrouver Zoé afin d'aller ensemble dans un endroit qui nous tient vraiment à cœur à toutes les deux : la boutique Vivienne Westwood World's End sur King's Road (merci d'ailleurs à Marie et Mila de nous avoir accompagnés dans cette petite randonnée aux airs de pèlerinage). Marcher dans cette avenue, c'est marcher dans le berceau du punk. J'aurais adoré y venir dans les années 70, à l'époque où le cœur de la contre-culture y battait. Et au bout de la rue, après un kilomètre de marche, il y a LA boutique Vivienne Westwood, avec sa devanture turquoise et sa grosse horloge qui tourne à l'envers. Une petite boutique très modeste vue de l'extérieur, mais qui est tellement chargée d'histoire. Je n'ai pas trop bien réalisé où j'étais et avec Zoé on était toutes folles. Too much feelings. Cette boutique-là est essentiellement spécialisée dans les tshirts et autres hauts et propose quelques exclusivités, j'ai donc acheté un débardeur ainsi qu'un pins en forme d'orbe (rouge, bleue et jaune, en plus. Si c'est pas merveilleux, ça). Ludo quant à lui a fait l'acquisition d'une jolie broche en forme de pénis volant bleu dont je suis assez jalouse, et Zoé de son côté a dépensé tout son argent. En sortant, on était pauvres mais hyperboliquement heureux.

Vivienne's brand whores.

 Après une courte ellipse durant laquelle nous sommes retournés à notre auberge, nous avons retrouvé La Famille à Camden Town. Camden Town, c'est un peu comme je me l'étais imaginé : ça n'est plus du tout un repère de punks et de marginaux, mais quelque chose qui pourrait s'apparenter à un équivalent du quartier de la Bastille croisé avec un souk. Malgré cela, c'est très sympa et la quantité incroyable de petites échoppes vendant d'à peu près tous les styles underground vaut le coup d’œil. Les grandes devantures kitch au possible de certains magasins aussi, d'ailleurs. J'ai trouvé mon bonheur dans un magasin qui vendait des chaussettes (un jour, je te parlerai de ma lubie des chaussettes à motifs importables, avec une photo de ma collection à l'appui). Ci-dessous, haul de la journée, le pins VW en moins puisqu'il est directement allé rejoindre ma veste.

Et un groupe de gens normaux.

  Mila devant se rendre à la répétition des défilés ayant lieu le lendemain, nous l'avons laissée partir accompagnée de Marie avant d'aller retrouver Dodo, une londonienne adorable au look bien cool avec laquelle nous avons dîné dans un bon restaurant japonais. Nous avons retrouvé nos deux acolytes par la suite et entrepris de marcher un peu jusqu'au Big Ben, que Ludo et moi tenions à voir. Quelle déception au final puisqu'il s'avère n'être pas si big que son nom veut le prétendre. Nous avons regagné notre hôtel et après un joli conte de Tatie Alien, nous nous sommes endormis afin d'être plus ou moins au top le lendemain.
Le lendemain donc, c'était Frock On. On s'est levés tôt une fois encore afin d'avoir le temps de nous parer, et puis nous nous en allâmes sur le lieu de l'événement, qui n'était pas un hôtel mais un de ces grands endroits qui accueillent des réceptions et des clubs privés. Le cadre était vraiment beau et luxueux, soit un magnifique décor pour toutes les superbes lolitas qui patientaient déjà là. J'aime beaucoup le style des lolitas anglaises dont la marque de prédilection de manière générale est Juliette et Justine. Je les trouve tellement plus élégantes et fraîches que les lolitas françaises.
La convention se déroulait dans plusieurs salles, ce qui était agréable au vu du nombre de personnes présentes. La salle principale accueillait les stands de diverses marques (Juliette et Justine, Atelier Pierrot, Millefleurs, Angelic Pretty...) et créateurs (Cute Lou, Baroque, 4Oclock...), tandis que dans une salle annexe se déroulaient les défilés et autres événements rythmant la journée. Une salle dédiée au seconde-main et une autre comprenant un photobooth furent accessibles plus tard.

La salle principale.
La salle où se tenaient les défilés et autres animations.

 Parmi les stands notables, il y avait celui de Grimoire, très vite pris d'assaut. Faut dire aussi que la présence de Hitomi, la designeuse de la marque, ajoutait à l'intérêt d'y faire un saut. J'y ai acheté les collants "La Prière", imprimés de vitraux et sur lesquels je louchais depuis leur sortie, ainsi que la paire de chaussettes dont je rêvais (oui, des chaussettes, encore). Et puis j'ai eu droit en cadeau à de jolis tatouages en forme de papillons. Je n'ai aucune idée de ce que je vais bien pouvoir en faire, mais ils sont beaux et ne m'ont rien coûté, alors bon.
La créatrice Cute Lou avait également fait le déplacement, et si je m'étais dit au départ que la seule chose que j'achèterais à Frock On serait une de ses chouettes blouses transparentes couvertes de chauve-souris, je ne lui ai finalement rien pris, ses prix étant trop élevés pour moi et ne justifiant pas vraiment la qualité en mon sens. Dommage. J'ai tout de même réussi à dépenser des sous sur un stand non loin en achetant à un créateur dont j'ai oublié le nom (honte à moi) un headdress qui semble avoir été fait pour moi puisqu'il s'agit d'un véritable crâne de musaraigne monté sur des plumes, des branchages et des roses noires. Lovely.

Le stand de Grimoire, avec Hitomi à droite.
Et le haul du jour.

 L'heure des défilés ne tarda pas à venir après (ou avant, je ne sais plus bien, mais peu importe) une petite interview de Hitomi, la designeuse de Grimoire. J'adore les défilés, ça a quelque chose d'un peu magique et je ne me lasse pas de voir s'enchaîner de belles robes magnifiquement portées. Millefleurs et Juliette et Justine étaient particulièrement à la hauteur de mes attentes : c'était beau (bon, surtout Millefleurs, mais ça c'est parce que je suis incapable d'être objective vis-à-vis de cette marque, et encore moins quand Mila défile pour eux. Sérieusement, cette fille est impressionnante, une vraie poupée vivante, c'est incroyable).

 Millefleurs, avec Mila à droite.

 Juliette et Justine.

 Une superbe madame aussi obsédée par les cerfs que je le suis par les dinosaures à gauche, défilant pour je ne sais plus quelle marque (j'attends les jets de cailloux). A gauche, une robe Lief présentée dans une coordination que j'ai trouvé particulièrement adorable.

 Après cela, pas mal de petites activités se succédèrent sur la scène tels que des conseils pour commander via des intermédiaires ou comment se coiffer, mais nous n'y assistâmes pas, excepté à l'interview exclusive de MC Melody Doll suivie de l'avant-première du dernier court-métrage de Deerstalker, ainsi qu'au cours de pose donné par Chokelate. C'était assez rigolo, je n'ai pas tout à fait sût quoi en penser.

Du coup, en bons élèves, on a fait exactement l'inverse de ce qui nous a été enseigné.

 Le lieu dans lequel Frock On se déroulait permettait d'aller et venir à sa guise à travers différentes salles, ce qui n'est vraiment pas désagréable lorsque l'on est autant de personnes. On s'est pas mal baladés, explorant les lieux (les toilettes notamment. Tu ne verras jamais des toilettes comme ça dans ta vie, crois moi). Plus tard, la salle consacrée au seconde-main fut accessible, ainsi qu'une salle dans laquelle se tenait un Photobooth, sorte de cabine photo lambda croisée purikura. Comme c'était gratuit et illimité, on en a bien profité pour faire les andouilles (pour changer). J'aime vraiment très fort les photos que nous avons faites. Admire donc :

La Fabulous Team : des gens beaux, classes et impressionnants.

 On en a également pas mal profité pour prendre d'autres photos en étant un peu moins à l'étroit que dans la petite cabine (où nous sommes d'ailleurs parvenus à entrer à sept, bravant le maximum de quatre personnes autorisées. Quels voyous - ou personnes charismatiques aptes à soudoyer le brave responsable de la machine, je ne sais pas bien - nous sommes alors, dites-donc !).

La Fab Team au grand complet, plus fabuleuse que jamais.

Et avec La Famille ainsi que Lili à ma droite, présente pour les défilés.

Et puis des photos en vrac, histoire de te montrer la quantité de gens présents et le degré de magnificence de toute cette superbe plèbe en jupons.

Un fragment de la populace présente. Je déconne même pas en disant fragment.
Un groupe de lolitas anglaises illustrant le fait que je les préfère globalement aux françaises.
A gauche une copine de plumes qui était absolument incroyable. A droite, Zoé que je trouve plus que merveilleuse en punk.

 Frock On, c'était l'événement que l'on attendait fébrilement depuis des mois, mais il passa si vite ! Ce fut bref mais intense et j'ai hâte de voir la prochaine convention que les filles du Tea Party Club organiseront. J'aurais aimé te parler plus en détails de cette belle journée, mais à pat "jdbskspeb" et "mes pieds sont décédés", je risque de n'être pas très constructive. Je crois que c'est le genre d'event qui te plonge dans un état très particulier où ton cerveau produit tellement d'endorphines que tu ne réalises pas vraiment bien ce qu'il se passe tant il y a des feux d'artifices et des paillettes en forme de licornes qui pètent un peu partout à l'intérieur de toi.
Comme souvenir matériel de cette journée, je garde le tote-bag exclusif offert aux gens qui comme moi avaient acheté une place VIP. Il contenait beaucoup de flyers, une barette, un autocollant, une carte, un miroir de poche ainsi qu'un petit badge estampillés Frock On. Les VIP et Super-VIP avaient également droit à des sièges réservés dans la salle des défilés, mais mes pieds se plaignent de n'en avoir pas suffisamment profité.
L'événement s'est clôt sur une tombola aux nombreux petits lots. D'ailleurs, tout le monde a eut droit à des petits chocolats, ce qui est une attention tout à fait charmante. Une photo de groupe a également été tentée, mais nous autres français, las, fourbus et les pieds à l'agonie, avons préféré jouer les rebelles en improvisant un sitting dans un coin. Le cœur y était, cependant.


 Pour notre dernière soirée à Londres et après s'être changés, nous rejoignîmes La Famille qui voulait allait manger dans un Burger King puisque ça n'existe pas en France. Ayant déjà eu largement l'occasion de tester (et de désapprouver) cette enseigne aux États-Unis, je suivis la troupe par solidarité amicale. Je ne regrette cependant pas, voir Ludo s'extasier devant la multitude de parfums de Fanta et de Sprite disponibles à volonté a suffit à illuminer ma soirée. J'envie cruellement les gens qui ne sont pas aussi blasés que moi.


 Mais l'amitié me poussa bientôt dans un terrible M&M's World, le genre d'endroit dont je ne vois pas l'utilité et que je tends à fuir comme la peste. Là, dans cet abominable lieu de consommation outrancière et injustifiée, je suivais mes amis déambulant dans les rayons, ne sachant que penser de l'effroyable musique diffusée dans tout le magasin ni de la titanesque quantité de goodies inutiles disponibles à la vente, faisant de cet endroit un véritable parc d'attraction attrape-touriste consacré exclusivement à ces petites friandises chocolatées. Nous tentèrent tout de même de nous amuser en imitant les mimiques de différentes peluches qui se trouvaient là, et puis nous tombèrent sur une machine diabolique. En effet, la chose permettait de découvrir notre couleur de M&M's. Oui, ça a l'air foutrement stupide, mais c'est parce que ça l'est. Le caractère méphistophélique de cet engin infernal résidait dans la justesse de ses réponses : à Zoé correspondait le noir car elle quelqu'un de naughty. Vrai. A Mila correspondait le rose pâle, pour je ne sais plus quelle raison qui collait assez bien également. A Marie correspondait le doré, car elle s'avère être quelqu'un de précieux pour une personne "entourée de chocolat" (aka Mila). Vrai. Les choses se gâtèrent quand ce fut à mon tour de monter sur ce machiavélique engin. Ma couleur fut... le jaune. Connards de racistes, ils peuvent se brosser pour que je mange de leurs confiseries !

Schématisation parfaite de mon état ce soir-là.

 Le lendemain c'est le kokoro gros que nous quittâmes Mila qui restait pour assister à la Tea Party ayant lieu le jour-même. Nous rentrâmes Marie, Ludo et moi à la patrie, non sans une certaine nostalgie. L'Angleterre, ça vous gagne, and that's a jolly good feeling.
Ainsi s'achèvent nos aventures british. Je t'invite à te rendre sur les blogs de Marie, Mila, Tro-Tro et Lunie si jamais tu es curieux d'en voir plus, puisque je fais un bien piètre reporter photo.

Avec la rentrée je vais tâcher de reprendre un rythme de publication régulier. J'envisage d'alterner entre ma chronique du dimanche habituelle et des petites réflexions sur des sujets qui m'intéressent ou me passionnent, histoire de varier les plaisirs et de peut-être te faire découvrir quelques trucs (et puis parfois - souvent même - je vois des films tellement nases que je n'ai même pas le courage d'écrire de spoilers ni de trouver la force de le démonter proprement tant ça n'en vaut pas la peine. Bref).
Sur ce, tu peux aller écouter London Calling des Clash, parce que moi je l'ai eu dans la tête durant tout ce weekend.
Love(ly).

6 commentaires:

  1. C'est drôle, en lisant ton article j'avais London Calling dans la tête aussi xD Ta façon de raconter, peut-être ? Mais le rythme des deux se mêlaient plutôt bien ensemble.
    Bref, ça avait l'air vraiment sympathique ; j'ai le coeur un peu gros de ne pas y être allée mais je sais que je n'aurais pas pu en profiter à son maximum, alors bon. Merci pour ton article, et j'espère en lire d'autres prochainement !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ah, c'est rigolo que tu aies eu cette chanson en tête à la lecture, j'en suis contente.
      C'était en effet très chouette et probablement aussi bien que l'événement de l'an passé auquel tu avais assisté (et pour le coup c'est moi qui suis un peu triste de n'y avoir pas été). J'espère que nous nous croiserons à l'événement de l'année prochaine !

      Supprimer
  2. Comme le commentaire ci-dessus, j'avais London Calling dans la tête en lisant cet article - ou plus généralement la plupart des articles qui parlent de Londres. En tout cas c'est vraiment un bel article, très drôle et plaisant à lire. Tu t'es amusée et ça fait plaisir à lire. J'aime beaucoup la photo avec le nom des rues, ainsi que celle du photomaton.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je crois que je suis comme toi : je ne peux pas m'empêcher d'avoir London Calling chaque fois qu'on me parle de Londres. Même quand on me parle de la famille royale ou d'autres choses n'ayant rien à voir avec les Clash, haha.
      Merci beaucoup, contente que tu prennes du plaisir à me lire !

      Supprimer
  3. Je dois avouer que tu m'as fait rire en racontant tes déboires avec le M&M's World et leur machine diabolique! xD
    Je n'ai jamais bien compris l'intérêt de cet endroit non plus...
    Par contre, Frock On avait l'air d'être un évènement fort sympathique, je regrette de ne pas avoir pu y participé.
    (Mais mon porte-feuille était en convalescence et m'en remercie!)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Contente que ça t'ai fait rire, parce que moi, ça ne m'a pas beaucoup amusée 8D
      Frock On était définitivement super, les filles du TPC font vraiment du beau boulot. J'espère que tu auras l'occasion d'assister à un de leurs futurs événements !

      Supprimer